Le musée
Après ce tour de parking, avec Rocky, son frangin et le mien, nous décidons de faire un tour au musée avant qu'il ne soit bondé. Les trois zigues sont en pleine forme :
Les photos que je prends sont un peu bruités. Week-end vraiment pas terribles pour les photos car je dois m'habituer à un tout nouvel appareil dont même maintenant je ne suis pas parfaitement satisfait. Certaines sont tout de même montrables. Un beau moteur pour redonner des vitamines à ma 205 :
Le Mans est la ville des Bollée , deux Amédée et un Léon, trois générations d'ingénieurs touche-à-tout, comme ils l'étaient tous plus ou moins à cette époque et qui sont surtout connus pour leur contribution aux progrès de l'automobile. Les voitures en vrai métal ça avait quand-même de la gueule :
Au musée il n'y a pas que des bagnoles. J'aime beaucoup les vieilles typos des reproductions de journaux anciens.
Il y a aussi des maquettes assemblées par les commissaires de course. Sur celle-ci, il manque la fumée des barbecues !
La Singer n'a rien à voir avec les machines à coudre alors que la Peugeot a tout à voir avec mon moulin à café.
Une autochenille P17 de la Croisière jaune (une des deux seules qui parvinrent à traverser l'Himalaya.
Avant-guerre quelqu'un a proposé à mon grand-père de lui donner une Hispano. Il a refusé, au motif qu'il n'avait pas la place de la garer. Je suppose que quelques années plus tard il se poignardait le fion avec une merguez... Ou alors il aurait préféré une Bugatti ?
Pour finir deux véhicules un peu plus rapides :